Jeu légal en France
Jouer au poker en ligne, aux paris sportifs et aux paris hippiques sur les sites agréés de jeux d'argent autorisés par la France
L’année 2019 a bien débuté pour le segment des paris sportifs en ligne, qui affichent une croissance de 20% des mises par rapport au dernier trimestre 2018 et de 51% par rapport au 1er trimestre 2018 à 1.276 millions d’euros, ce qui représente le volume de mises le plus important enregistré sur un trimestre depuis l’ouverture du marché en 2010.
Si les mises sur les paris sportifs affichent une belle croissance, le produit brut des jeux (PBJ) de l’activité n’est pas en reste, avec une progression de +52% à 222 millions d’euros, ce qui correspond également au chiffre d’affaires trimestriel le plus élevé pour le segment des paris sportifs depuis l’ouverture du marché. Cette progression d’un point de plus que celle des mises s’explique par le recul de 0,1 point du taux de retour aux joueurs (TRJ) avant bonus à 82,6%. En l’absence de compétition représentant un enjeu majeur de recrutement de nouveaux joueurs, les bonus distribués par les opérateurs de paris sportifs ont augmenté de 12% à 22 millions d’euros sur la période, alors que le TRJ (après bonus) a légèrement diminué (-0,7 point) entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019, passant de 85% à 84,3%. Enfin, la fiscalité du secteur n’ayant pas évolué sur la période observée, les prélèvements indexés aux sommes engagées par les joueurs ont augmenté au même rythme que les mises, pour atteindre les 117 millions d’euros.
Comme chaque trimestre, les paris à cotes, qui contribuent à hauteur de 99,7% des enjeux du premier trimestre avec 1.271 millions d’euros de mises et un TRJ (hors bonus) de 82,6%, restent de loin la forme de paris sportifs la plus plébiscitée par les parieurs. Avec 4 millions d’euros de mises et un TRJ (hors bonus) de 76,3%, les enjeux en paris mutuels, qui comprennent les grilles de paris (65% des mises) et de Fantasy League, (35% des mises), ont progressé de +2% sur la période, l’augmentation de 28% des mises engagées en Fantasy League compensant la baisse de 10% de ceux sur les grilles de paris.
Indétrônable, le football est toujours le sport qui génère le plus de paris sportifs. Au premier trimestre, le ballon rond a ainsi contribué à hauteur de 56% des enjeux, avec des mises en hausse de 54% à 716,8 millions d’euros, pour un PBJ de 133 millions d’euros. A noter que 30% des mises ont été effectuées en direct. Sans grande surprise, le tennis, qui a contribué à hauteur des 20% des enjeux avec des mises en progression de 53% à 163 millions d’euros, pour un PBJ de 38 millions d’euros, se classe deuxième. Une belle performance qui s’explique notamment par l’augmentation de 136% des mises engagées sur l’Open d’Australie sur la période à 52,3 millions d’euros. Le basketball monte sur la troisième marche du podium avec des mises en hausse de 42% à 177,1 millions d’euros) pour un PBJ de 27 millions d’euros, représentant 14% des enjeux du trimestre. Derrière, on retrouve le hockey sur glace (3% des enjeux trimestriels), le rugby (2%), le volley-ball (1%) et le handball (1%).
Plusieurs compétitions, outre les championnats professionnels, se sont déroulées en France au cours du premier trimestre, générant des recettes de droit au pari. Sur l’ensemble du trimestre, les mises engagées sur des évènements sportifs organisés sur le territoire national ont atteint les 223 millions d’euros, soit 38% de plus qu’au premier trimestre 2018. Les opérateurs de paris sportifs ont contribué au financement de la filière sport en reversant quelque 2,2 millions d’euros aux organisateurs d’évènements sportifs.
Le nombre de comptes joueurs actifs chaque semaine a progressé de 42% sur la période à 655.000, avec un pic à 822.000 comptes joueurs actifs pendant la semaine des matchs retours de huitièmes de finale de la Ligue des Champions.
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INTERDICTION VOLONTAIRE DE JEUX
Toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ministère de l’intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n°2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.